Une journée qui deviens longue.

Une journée qui deviens longue.

J6, samedi 02 août

Aujourd’hui je vais aux chalets d’Iraty, une journée de huit heures. Je devrais arriver assez tôt pour m’y ravitailler à l’épicerie.

La journée commence bien dans un brouillard épais.

Le sentier passe à travers les pâturages et ne forme pas une piste. Il est marqué par des poteaux de vingt centimètres régulièrement placés, on va de poteau en poteau.

Je perds assez vite le chemin dans ce brouillard, pas grave celui-ci longe une route.

J’oublie juste de reprendre le sentier au premier virage et me voilà parti une heure pour rien sur du goudron.

Le temps de revenir à mon point de départ pour reprendre le sentier le brouillard est moins épais et j’arrive progresse sans trop m’égarer.

J’avance bien moins vite que prévu car le chemin est soit très boueux, je glisse et j’avance avec précaution soit il se perd dans les pâturages et je doit alors chercher les petits poteaux qui souvent sont masqués par des hautes herbes.

Résultat des courses pour faire mes courses je risque d’arriver trop tard.

L’épicerie ferme à 19h00 et à 16h50 il me reste encore deux heures de montée (si on est frais et pas trop chargé).

J’ai un petit bout de chemin sur la route avant de reprendre le sentier je décide de tenter de shunter cette dernière partie en faisant du stop tout en marchant, on ne sait jamais…

Pas de succès.

J’attaque le montée en essayant d’être le plus rapide possible quand je croise un randonneur qui visiblement redescend au parking.

Je lui expose mon problème et lui demande si par hasard il ne passerait pas par les chalets d’Iraty ?

Il peut, j’ai le temps de faire mon ravitaillement. Je n’aurai pas eu le temps de le faire car je devrai partir très tôt pour une grosse journée.

Les photos du jour.

7 réflexions sur « Une journée qui deviens longue. »

  1. Y’a une photo qui n’est pas passée.
    Ce sont des ruches dans le fond ?
    Ton cheval a une position etrange.

  2. J’ai mis un moment à comprendre que le cheval était au-dessus d’une souche. Ce n’est pas quelque monstre antédiluvien dôté d’un nombre disproportionné de jambes 😱

  3. Pourquoi s’énerver pour faire des courses alors que tu as de quoi faire un méchoui.
    Le plus dur est d’en attraper un.

    1. J’y ai pensé mais ça court vite ces bestioles et c’est dangereux car des fois dans le groupe t’as un une brebis qui fait OUAF OUAF et qui mord très fort !!!

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