L’aigle et le vautour

L’aigle et le vautour

J7, vendredi 04 septembre

Encore un bivouac un peu trop froid au petit matin ,il va falloir que j’achète un sac de couchage plus chaud pour les prochaine fois.

Du coup ce matin je traine dans la salle hors sac. Deux heures et demi pour faire mon sac et prendre mon petit déjeuner, mon record je croie !

Huit heures trente, il est temps de partir, objectif le refuge d’entre deux eaux via le col de la rochère avec une halte au refuge de la femma. Six heures de marche au total.

Une pause de cinq minutes près du col col de la rochère, pour mettre de la crème solaire, qui durera trente minutes tellement le paysage minéral avec au fond les sommets enneigés, sans un bruit artificiel est apaisant.

Le descente du col est douce. Rapidement les pierres sont remplacées par de la prairie à marmottes où paissent les vaches qui aideront à produire le fameux bleu de Termignon (que je n’ai pas encore eu l’honneur de goûter).

Au début de descente j’ai la chance de voir un aigle royal juvénile (il a encore quelques plumes blanches sous les ailes)

Plus tard, sur ma droite j’entends un patou aboyer. Je tourne la tête et là je vous une scène cocasse.

Un gypaète barbu, survolant un troupeau de moutons, poursuivi par un patou !

Au refuge d’entre deux eaux, deux gypaètes tournent autour d’un sommet. Malheureusement je n’ai pas pu faire une seule photo convenable.

Petit jeu : Que peux bien faire un vélo sur une terrasse d’un refuge ?

Les photos du jour

Les photos du jour

2 réflexions sur « L’aigle et le vautour »

  1. Ha non non je crois pas que 2h30 ça soit ton record de lenteur le matin, rappelle toi le départ de stehekin ou snoqualmie 😉

  2. Le vélo, je suppose que c’est pour recharger les batteries (celles du téléphone ou autre objet connecté, pas celles du randonneur 😉 )

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