La forme revient en douceur.

La forme revient en douceur.

J4, jeudi 31 juillet

J’étais seul dans un dortoir famille (4 places), j’ai bien dormi et ce matin j’ai les cuisses et les mollets moins raides quant aux articulations pas de douleurs non plus.

Du coup l’étape prévue sur le topo pour ce jour étant courte et la suivante longue je me dit que je vais essayer de rallonger si ma forme se maintient à l’épreuve du chemin.

Ce sera donc une montée au col de d’Argibel pour redescendre sur Les Aldudes, et là si tout va bien après une grosse pause je repart dans la montagne pour deux heures de montée afin d’atteindre un col ou je pense pouvoir bivouaquer.

Le ciel est couvert, sans vent mais aussi sans pluie, ça change !

Par contre ma transpiration ne s’évapore pas, je suis rapidement trempé de sueur. Au moment des pauses j’ai limite froid.

J’atteins Les Aldudes sans trop sentir mes courbatures et à une vitesse raisonnable (je manque encore d’endurance). Je décide donc de faire une grosse pause et de repartir.

Je repart chargé comme un bœuf car ce soir c’est un « dry camp » ! Je prends 3,5l, je prends que cela devrait suffire pour la montée, le dîner et demain matin.

Le col est parfait pour bivouaquer, j’y trouve un espace plat sans bouse ni crotte de mouton !

Par contre il y a un petit vent frais et comme je suis trempé j’ai froid, je me réfugie vite dans ma tente alors avoir quand faut mes étirements.

Les photos du jour

2 réflexions sur « La forme revient en douceur. »

  1. Ça fait plaisir de te lire en meilleure forme… même si ces vautours qui rodent autour de toi comme dans Lucky Luke ne nous dise rien qui vaille !

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